Guy

GUY

Biographie

GuyStef-1968

1967

Naissance

Le 21 octobre, 20 minutes après mon frère faux-jumeau Stéphane (à gauche), dans une clinique du 12e arrondissement de Paris près de la rue de Charonne (j’y donnerai mon premier concert en solo 45 ans plus tard) d’une maman berrichone et d’un père breton. Cette année là sort A whiter shades of pales de Procol Harum.


1970

je marche et je roule

J’ai trois ans, Simon and Garfunkel sortent l’album Bridge over troubled water, Geoges Harisson chante My sweet Lord, Black Sabbath sort Paranoid mais je ne sais encore rien de cette incroyable décénie musicale qui commence, je conduis ma voiture en plastique 😊


Ps20

1983

Mes premières armes

Mon premier instrument de musique (cordes vocales et flute du collège mis à part ☺️) : un clavier Yamaha PS20 ! j’y bredouillerai mes premières notes et quelques années plus tard, lorsque le hard rock m’aura possédé 😈, j’y déchiffrerai « Sweet child in time » de Deep Purple. En attendant, mes parents me payent quelques cours rue d’Amsterdam à Paris, que j’arrête presque aussitôt : le solfège ne m’intéresse pas vraiment et je me rends compte que le clavier n’est pas forcément mon instrument de prédilection… j’ai envie d’une guitare !


ARIA

1986-1989

Mon premier groupe, ma première guitare électrique (une Aria Pro II… d’où le nom), mes premiers potes musicos ! Oliver Davoise  que je rencontre au lycée est à la basse, Lionel Hannezo que je rencontre en vacances est à la guitare, mon frère Stéphane se met à la batterie, je chante et c’est parti !
Nous nous essayons un peu à tous les styles (avec plus ou moins de réussite ☺️) et nous composons et enregistrons nos premières maquettes studio. Ce premier creuset durera 4 années et reste dans ma mémoire comme un premier amour de vacances…


NIP1

NIP 1

sept 1989

Septembre 1989, je rencontre à mon travail Yves Gogat, sorte de barbare golgote haut en couleur au rire tonituant et surtout guitariste de métal. C’est cette musique que Stéphane et moi écoutons de plus en plus et qui nous fait vibrer. Nous décidons donc de monter un groupe de hard ensemble en réquisitionnant Olivier Orsini qui oeuvrait dans un groupe de punk. Nous enregistrons notre premiere maquette 2 titres « Handle with care »et donnons nos premiers vrais concerts en région parisienne et en province.

Nip2

NIP 2

1992

L’envie de jouer un métal plus moderne et technique (coincidant avec l’émergence de groupes novateurs à la fois métal progressif et fusion comme Faith no more) nous font changer le line-up du groupe : Serge Levy batteur (et bassiste) talentueux nous rejoint, Stéphane remplace Olivier au chant, il retourne parfois à la batterie lorsque Serge lui passe à la basse et que je passe au clavier 🤪. C’est une époque riche et délirante, nous composons, nous donnons beaucoup de concerts (nous avons la carte du Gibus !). Mais comme souvent, c’est quand le groupe atteint son apogée avec des compos qui nous plaisent vraiment que nous nous séparons juste avant d’enregistrer notre premier album studio. Reste un album live “Sans retouche”.

« Up and Down – Live sans retouches » 1993 © Ruault-Gogat-Ruault-Levy


Testimony

Testimony

1993

En parallèle de NIP, l’amour du rock progressif que je partage avec mon frère de Sang Julio Oumarou (qui est également batteur/chanteur dans le groupe “Worse Than Ever”) nous amène tous les deux à monter un groupe pour créer un opéra-rock dans la veine des concepts albums de Marillion ou de Pink Floyd. Je suis à la basse et au chant que je partage avec Julio (batterie et écriture des textes) et deux nouveaux acolytes nous rejoignent : Armel Mouton à la guitare et Flavien Picart aux claviers, tous deux harmonistes de grands talents. Nous finirons pratiquement l’écriture de ce double album que le départ de Julio stoppera malheureusement juste avant son enregistrement. Une de mes grandes déceptions musicales : j’ai adoré jouer dans ce groupe ! 🙂


Septente

A3

1998-2001

La fin en eau de boudin de Testimony et de NIP nous amènent avec Flavien Picart (claviers) et mon frère Stéphane (batterie-chant) à tenter une dernière aventure expérimentale en trio (basse/guitare acoustique pour moi). Nous nous installons dans la cave de flavien pour de longues soirées de répétitions/composition et nous commençons à travailler sur un album. Malheureusement, un enchainement « d’emmerdes » improbables (innondation, vol de nos ordinateurs jusqu’à une rupture de canalisations des WC qui se déversent dans le local 😱) aura finalement raison de notre persévérance, ne nous laissant que quelques maquettes de nos compositions.

« Caravane » – © Ruault-Ruault-Picart


Septente

2002-2004

Septante

Reformation de formations encore, Serge (NIP), Flavien (Testimony-A3) décident avec un nouveau batteur Florent et un guitariste très talentueux Éric de monter un groupe de reprises principalement tirées des années 70 (d’où le nom), Inès Bastère est au chant et le groupe cherche un chanteur pour l’accompagner. Flavien m’appelle et me propose le poste : Je ne suis pas vraiment chanteur mais ils m’acceptent et l’idée de chanter des tubes accompagné par de si talentueux musiciens fini de me convaincre de les rejoindre. Une expérience enrichissantes avec quelques beaux concerts et enregistrements rapides comme cette reprise d’Extreme.

Notre reprise de « More Than Words »


Guy fond noir

2005

Guy

Les histoires inter-groupe notamment sentimentales 🙃 ont eu raison de Septante, je me retrouve seul et peu de temps après un énième chagrin d’amour, un ami photographe Gilles Rémond me propose de faire une séance photo pour s’amuser en me suggérant d’amener ma guitare pour passer le temps entre les prises. Après 3 heures de flash alors que je chantonne des mélancolies acoustiques, il se tourne vers moi et me dit « et pourquoi tu ne ferais pas ton propre album » ? Je n’y avais jamais pensé ! Sa confiance me touche, je commence quelques jours après un long processus d’écriture et de composition qui prendra 7 années 😅 et accouchera de « The Fall ».

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